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Pierre Girard
Person · 1859-1920

Pierre Girard voit le jour à Sainte-Marie-de-Monnoir le 14 février 1849. Il fait ses études au Collège de Sainte-Marie-de-Monnoir et est ordonné prêtre le 23 septembre 1871 à Saint-Hyacinthe. Professeur au Collège de Sainte-Marie entre 1871 et 1874, l'abbé Girard occupe ensuite plusieurs fonctions au Séminaire Saint-Charles-Borromée, de 1875 à 1888. Il est professeur, premier directeur (1875-1878), deuxième supérieur (1878-1888), sans oublier son rôle d'initiateur des Chroniques du Séminaire. En 1888, il entre chez les Pères Rédemptoristes en Belgique où il occupe plusieurs postes. L'abbé Pierre Girard décède le 1er juin à Buckingham au Québec.

Maltais, Alexandre
CAMAR P042 · Person · 1894-1948

Alexandre Maltais est né le 4 avril 1863 à Chicoutimi. Il étudie à Chicoutimi et par la suite, à Rome. Alexandre Maltais est ordonné prêtre le 13 juin 1886 et jusqu'en août, il est vicaire à la cathédrale de Chicoutimi. En 1895, l'abbé Maltais obtient son doctorat en droit canonique. Entre 1886 et 1923, l'abbé Maltais est professeur, directeur des ecclésiastiques et membre du Conseil du Séminaire Saint-Charles-Borromée. Il est décédé à Chicoutimi le 18 mars 1948.

Patenaude, Gérard
CAMAR P044 · Person · 1934-2003

Gérard Patenaude est né le 11 juin 1916 à Augusta, Maine. Il fait ses études au Séminaire Saint-Charles-Borromée de Sherbrooke (1929-1937), à Montréal et à New York. Il est ordonné prêtre par Mgr Desranleau le 29 juin 1941. Entre 1939 et 1981, il occupe plusieurs fonctions au Séminaire, dont celles de régent, professeur, directeur de l'Harmonie, et directeur de l'English Debate Society. L'abbé Patenaude est aussi membre du Conseil d'administration du Séminaire. Entre 1963 et 1988, il est également membre de la Corporation du Musée du Séminaire. Tout au long de sa vie, l'abbé Patenaude est resté en contact avec les États-Unis. Il y est retourné au début de 1995 et a fait de sa ville natale, Augusta, le lieu de sa résidence principale. L'abbé Patenaude est décédé à Augusta, Maine, le 3 octobre 2008, à l'âge de 92 ans. Il est inhumé au cimetière Holy Family d'Augusta.

Vincent, Victor
CAMAR P052 · Person · 1882-1975

Victor Vincent naît à Coaticook le 7 août 1889. Il étudie au Séminaire Saint-Charles (1903-1909) et est ordonné prêtre par Mgr LaRocque le 6 juillet 1913, à l'église Saint-Edmond de Coaticook. Il poursuivra par la suite (1919-1922) des études à Rome et à Paris où il obtiendra un doctorat en droit canonique. L'abbé Vincent est nommé chanoine titulaire du Chapitre de la Cathédrale (1937) et prélat romain en 1959. Mgr Vincent occupe aussi plusieurs fonctions au Séminaire, d'abord entre 1909 et 1919, où il est professeur, assistant-préfet des études et directeur des élèves. À son retour d'Europe en 1922, il reprend le poste de directeur des élèves et occupe par la suite les fonctions de préfet des études, professeur de latin et philosophie, vice-supérieur et supérieur (1939-1940). Entre 1942 et 1964, Mgr Vincent est principal de l'École normale du Sacré-Coeur de Sherbrooke. Il reçoit en 1963 un doctorat honorifique ès sciences de l'éducation de l'Université de Sherbrooke. Il décède le 2 décembre 1975.

Labrecque, Tancrède
CAMAR P062 · Person · 1952-1960

Tancrède Labrecque naît à Ham-Nord le 13 mars 1921. Il fait ses études au Séminaire Saint-Charles-Borromée (1934-1941) et au Grand Séminaire des Saints-Apôtres. Il est ordonné prêtre le 15 juin 1946 et occupe plusieurs fonctions au Séminaire jusqu'au moment de sa retraite en 1993, dont celles de professeur, directeur de l'Orphéon Saint-Grégoire, directeur de l'enseignement du chant, vice-recteur, procureur, trésorier et directeur des services financiers. De 1993 à 2008, l'abbé Labrecque est économe-adjoint du diocèse de Sherbrooke. Il décède le 16 mai 2020 au CHUS - Hôtel-Dieu de Sherbrooke.

Marchand, Gérard
CAMAR P063 · Person · 1937-2010

Gérard Marchand est né le 28 novembre 1912, à Saint-Félix-de-Valois. Il étudie d'abord au Séminaire Saint-Charles-Borromée de Sherbrooke (1925-1933) et, quelques années plus tard, soit en 1945, l'abbé Marchand ira poursuivre des études de pédagogie à Montréal. Il est ordonné prêtre en 1937 et élevé au rang de prélat romain en 1963. Mgr Marchand oeuvre au Séminaire durant 45 ans. Il y est élevé au rang de prélat romain en 1963. Mgr Marchand oeuvre au Séminaire durant 45 ans. Il y est professeur, régent, directeur du Comité des jeux, bibliothécaire, directeur spirituel, préfet des études, membre du Conseil, vice-recteur (1959-1962), puis recteur (1962-1968). En 1978, il prend sa retraite.

Vachon, Henri-Paul
CAMAR P068 · Person · 1925-2000

C'est le 13 juillet 1922 que naît à Black Lake Henri-Paul Vachon. Il fait ses études à Québec et à Sherbrooke. Le 10 février 1952, il est ordonné prêtre et il est nommé vicaire à la Cathédrale de Sherbrooke. L'abbé Vachon s'intéresse particulièrement au mouvement scout et il sera d'ailleurs l'aumônier des Louveteaux et des Scouts de la paroisse Immaculée-Conception de Sherbrooke durant une dizaine d'années (ca1955-1966). L'abbé Vachon travaille au Séminaire Saint-Charles entre 1952-1957 et 1964-1978, à titre de professeur, régent et directeur du Service de l'audio-visuel jusqu'en 1992. Il enseigne aussi au séminaire Saint-Joseph de Sherbrooke en 1953, à la faculté de commerce de l'Université entre 1955 et 1957, et à l'École normale de 1957 à 1964. Il se retire au Séminaire de Sherbrooke en 1992. L'abbé Vachon décède au CHUS le 17 août 2007, à l'âge de 85 ans.

Griffith, John
CAMAR P071 · Person · 1848-1859

John Griffith est né à Québec en 1814. Sa famille s'installe à Sherbrooke en 1826. Il dirige dès le début des années 1840 et jusqu'en 1871 un magasin général sur la rue Commercial (Dufferin). En même temps, il est aussi juge de paix et commissaire de faillites. En 1863, John Griffith devient aussi percepteur du revenu et inspecteur des licences sous le gouvernement de l'Union. Lors de la Confédération, il demeurera inspecteur des licences pour le gouvernement provincial et percepteur du revenu pour le fédéral. Il occupera ces fonctions jusqu'à sa mort. Griffith est aussi un homme très impliqué dans son milieu. Il est membre-fondateur en 1874 de la Sherbrooke Permanent Building Society qui deviendra plus tard le Sherbrooke Trust, et il est aussi l'un des directeurs de la Stanstead and Sherbrooke Fire Insurance Co. En plus de ces nombreuses activités, John Griffith s'intéresse à la politique municipale. D'abord conseiller, il occupe le fauteuil de maire de Sherbrooke en 1875-1876 et en 1881-1882. Il meurt à Sherbrooke en 1885.

Gamache, Olivier
CAMAR P079 · Person · 1920-1946

C'est à Saint-Philémon de Stoke, le 16 octobre 1900, qu'Olivier Gamache naît. Il étudie au Séminaire Saint-Charles-Borromée de 1915 à 1921 et est ordonné prêtre par Mgr Gagnon le 28 juin 1925. Pendant sa carrière au Séminaire (1921 à 1970), il est professeur, directeur du Comité des jeux et adjoint à la bibliothèque du Secondaire. L'abbé Gamache est aussi aumônier à l'Hôtel-Dieu de Sherbrooke entre 1933 et 1938 et il dessert la mission de Saint-Luc de Barnston de 1940 à 1947. Il meurt à Sherbrooke le 9 juin 1975.

Inkel, Marcel
CAMAR P088 · Person · 1939-1947

Marcel Inkel arrive au Séminaire Saint-Charles-Borromée en 1932 et termine son cours en 1939. Il occupe ensuite un poste de journaliste à La Tribune de Sherbrooke, puis à L'Événement-Journal de Québec (ca1943-1950). On le retrouve ensuite au poste de secrétaire particulier de Hugues Lapointe, ministre du gouvernement St-Laurent (1950-1957). Il occupe les trois années suivantes à titre de conseiller en relations extérieures pour différentes institutions montréalaises et il se retrouve secrétaire-trésorier de l'Institut canadien des Affaires publiques entre 1958 et [ca1961]. En 1960, il est aussi conseiller en relations extérieures et secrétaire spécial de Jean Lesage. En même temps, Marcel Inkel est organisateur général et secrétaire du Parti civique de Montréal. Gérant général de la revue Actualité en 1961-1962, il est vice-président du bureau de conseillers en relations extérieures Desroches, Inkel, Poirier et associés inc. entre [ca1962] et [ca 1967], et directeur des relations publiques de Steinberg limitée entre [ca1967] et 1974. Durant cette dernière période, Inkel est gouverneur et membre du Conseil d'administration de l'hôpital Sainte-Jeanne-d'Arc. Il décède accidentellement à Montréal le 20 février 1974.

Poiré, Jean-Marie
CAMAR P094 · Person · 1927-2021

Jean-Marie Poiré est né à Thetford Mines le 1er novembre 1929. Il étudie au Séminaire Saint-Charles-Borromée (1944-1950) et à Montréal. Ordonné prêtre en 1954, l'abbé Poiré entreprend une longue carrière au Séminaire à divers postes, entres autres professeur, directeur d'art dramatique, membre du Conseil d'administration et vice-recteur préposé aux relations avec les personnels. Il consacre plusieurs années de sa vie au théâtre, d'abord au Séminaire, puis avec la Troupe de l'Atelier. L'abbé Poiré prend sa retraite en 1992-1993. Mgr Gaumond lui demande, en décembre 2004, d'occuper temporairement la fonction de Recteur du Séminaire suite au décès de l'abbé Gilles Légaré.

CAMAR · Corporate body · 1870

L'histoire de Windsor remonte au 14 juillet 1802. Le gouverneur Prescott érigea, en Canton de Windsor, des territoires bornés par les Cantons de Wotton, de Stoke, de Shipton et de Cleveland. Le premier colon à s'y établir fut monsieur Joseph Brown. Vers 1817, arrivèrent monsieur John Dearden et ses fils, George, James et Thomas; ces derniers devinrent catholiques en 1833. Le premier francophone à s'installer dans le Canton de Windsor fut Michel Cloutier. Les moulins à papier donnèrent tout un essor à Windsor. Messieurs William Angus et Thomas Logan s'associaient en 1859 pour vendre à Montréal le papier fabriqué par William Brooks de Sherbrooke. Par la suite, ils construisirent à Windsor le premier moulin de pâte chimique du Canada. En mai 1873, ces deux associés formèrent une compagnie sous le nom de Canada Paper. En 1886, on construisit l'usine Saint-François et en 1888, une papeterie. En 1961, la Canada Paper vendait ses installations à la Domtar. En 1985, cette compagnie entreprit la construction d'une usine ultra-moderne dans le douzième rang de Windsor. Le territoire actuel de la paroisse fut d'abord sous la juridiction de l'évêque de Trois-Rivières. L'érection canonique remonte à 1879. Les catholiques furent d'abord desservis par les curés de Sainte-Bibiane de Richmond : l'abbé Luc Trahan (1854-1864) et Mgr Patrick Quinn (1864-1869). L'abbé Thomas Quinn, curé de Drummondville, y exerça aussi du ministère (1869-1875). C'est lui qui fit construire la première église en 1870, sur un lot de la famille Dearden. De 1857 à 1875, monsieur Hilaire-Casimir Hamelin, curé de Wotton et monsieur Georges Vaillancourt, curé de Saint-Georges-de-Windsor, s'y rendirent assez souvent. En 1875, Windsor obtenait son premier curé résident : l'abbé Joseph Elzéar Michaud. Homme très original et d'un caractère un peu spécial, il dut quitter la paroisse en 1878. Son successeur, l'abbé Frederic-Patrick Dignan, donna le véritable essor à la paroisse. En 1885, il fit construire le presbytère actuel; celui-ci fut rénové en entier en 1976-1977. Le curé Dignan fit aussi bâtir l'église actuelle, en 1892. Le curé Yvon Bilodeau la fit restaurer durant les années 1980, en tenant compte des plans primitifs de ce temple splendide. Le chanoine Arthur Lemay l'avait fait consacrer en 1956, par Mgr Georges Cabana. En 1949, Mgr Philippe Desranleau détacha une partie du territoire de Saint-Philippe pour fonder la paroisse Saint-Zacharie; en 1952, il décida de fonder une paroisse du côté sud de la ville, avec une frontière naturelle : la rivière Wattopeka. Cette paroisse a comme patron saint Gabriel-Lalemant. Depuis quelques années, la paroisse compte deux diacres permanents. En août 1991, le nouveau curé, l'abbé Denis Cournoyer, s'est vu confier, en surplus, la cure de Saint-Claude.

CAMAR · Corporate body · 1956

Dès 1825, aux environs de Millington, fut construite une première église méthodiste. En 1865 sera érigée une église épiscopalienne sur le coin nord-est de la route principale. Cette église, connue sous le nom de The Church of atonement, est l'ancêtre de l'église catholique de Saint-Austin. Ainsi, d'octobre 1865 à janvier 1927, l'église d'Austin joua son rôle d'église anglicane, soit durant 62 ans. En 1927, les pères Bénédictins achetèrent l'église d'Austin et la vendirent, en 1932, à la Corporation épiscopale catholique romaine de Sherbrooke. Bien que les premiers missionnaires arrivèrent à Saint-Austin en 1897, la paroisse ne sera érigée canoniquement qu'en 1956 par Mgr Georges Cabana. Cette paroisse fut également connue sous le nom de Saint-Luc-de-Mellington et celui de Saint-Benoît. Sources : informations puisées dans «Histoire des églises d'Austin de 1825 à 1987 et spécialement de l'Église de Saint-Austin» (fonds Fabrique Saint-Austin de Austin) et dans le Guide des archives paroissiales de l'archidiocèse de Sherbrooke.

CAMAR · Corporate body · 1962

En 1946, Mgr Philippe Desranleau achète le terrain où sera construite l'église actuelle. En 1950, suite à une demande de l'évêque et en prévision d'une future paroisse, l'abbé Zoël Fréchette acquiert par l'entreprise de Placement enregistré un terrain de monsieur Emery Lussier. L'église fut construite entre 1962 et 1963 et bénie le 16 août 1962. Le presbytère fut construit par Marquis et Frères, en 1964. Suite à l'accroissement de la population et à l'éloignement de l'église paroissiale, Mgr Georges Cabana érige, le 1er février 1964, la mission Notre-Dame-de-Protection. Cette dernière sera érigée en paroisse le 14 janvier 1967 et son érection civile se fera le 18 mars 1967. En date du 7 décembre 1966, une convention entre l'Archevêché et la Communauté des Pères Clarétains de la vice-province canadienne stipule que les Pères Clarétains s'occuperont de la paroisse. Le 15 décembre 1982, une partie du territoire de la paroisse Marie-Reine-du-Monde est rattachée à la paroisse Notre-Dame-de-Protection de Sherbrooke. Source : Fiche d'inventaire des lieux de culte construits après 1945.

CAMAR · Corporate body · 1898

Le canton de Shipton est concédé à Elmer Cushing, le 4 décembre 1893. Les premiers à explorer ce canton sont des Américains, en 1797. En 1824, il y a une chapelle catholique à Brand's Hill; elle est incendiée en 1840. En 1879, des enfants trouvent une pierre «d'apparence curieuse» qui s'est détachée facilement de la crevasse d'un rocher; ils montrent cette pierre à leurs parents qui retournent sur place avec des outils de travail. Pas de doute, cette pierre est semblable à celle qu'on exploite à Thetford. Verdâtre et segmentée d'une bande gris-blanc, cette pierre est très friable : du bout de l'ongle, on peut détacher de la bande gris-blanc des fibres plus douces au toucher que la soie. C'est de l'amiante. Charles Webb, propriétaire de ce terrain, le loue à W. H. Joffrey, qui l'exploitera par la suite. À ce moment là, bon nombre de familles catholiques s'installent dans ce coin du canton de Shipton; elles vont à la messe à Danville. La première vraie démarche en vue d'obtenir du service à Asbestos se fait le 7 février 1896, auprès de Mgr Hubert-Olivier Chalifoux, vicaire général. Dès le début de mars de la même année, le curé Masson, de Danville, célèbre la messe une fois par mois, dans une école dirigée par mademoiselle Clara Senneville. Mgr LaRocque demande aux gens de fixer l'endroit pour la construction d'une chapelle; celle-ci est enfin bâtie durant l'été 1897 et la première messe y est célébrée le 5 septembre suivant. En 1898, on érige un presbytère pour accueillir le premier prêtre résident, l'abbé Antonio Lebel. L'érection canonique remonte au 13 mai 1921. La construction de la première église date de 1925, au temps de Mgr Luc-Napoléon Castonguay. On y célèbre la première messe le 7 juin et Mgr Alphonse-Osias Gagnon en préside la bénédiction le 5 juillet. Elle est située rue Notre-Dame. Le 22 août 1965, Mgr Georges Cabana bénit la pierre angulaire de la nouvelle église Saint-Aimé d'Asbestos; cette église remplacera la première qui doit être démolie pour favoriser l'extension de la mine d'amiante. Le 21 octobre 1967, Mgr Cabana bénit et consacre cette nouvelle église, située sur le boulevard Saint-Luc. C'est monsieur le chanoine Roméo Demers qui préside alors les destinées de la paroisse. Cette paroisse est dissoute depuis le 30 novembre 1999.

CAMAR · Corporate body · 1890

La Mission de Saint-Adrien débuta en 1877. Le premier missionnaire à s'y installer fut Narcisse-Jean-Charles Lemire. L'érection canonique de la paroisse eut lieu le 28 avril 1890 et l'élection du premier conseil de Fabrique le 1er février 1891. On construisit le presbytère huit ans plus tard, soit en 1899. Le 1er janvier 2012, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Coeur-Immaculé-de-Marie d'Asbestos. Sources : informations puisées dans le Guide des archives paroissiales de l'archidiocèse de Sherbrooke.

CAMAR · Corporate body · 1851

Ce fut l'abbé Pierre-Jacques Bédard qui célébra la première messe à Wotton, au commencement de l'été 1849. La première chapelle fut ouverte au culte le 9 novembre 1851. Le premier curé résident, l'abbé Georges-Jacques Duhault, fit construire le premier presbytère en 1853. Mgr Thomas Cooke, évêque de Trois-Rivières, érigea canoniquement la paroisse Saint-Hippolyte de Wotton, le 26 mars 1856. En 1858, on procéda à la construction d'une nouvelle église. Le 15 juillet 1884, le curé Hilaire-Casimir Hamelin prit possession d'un nouveau presbytère (presbytère actuel). Au printemps de 1900, Mgr Paul LaRocque autorisa la construction d'une nouvelle église, à cause de l'augmentation incessante de la population; elle fut terminée en décembre 1903. En 1949, on célébra le centenaire de la première messe à Wotton. À l'occasion de ces célébrations grandioses, monsieur l'abbé Maurice O'Bready publia l'Histoire de Wotton. Il nota : «Wotton s'est développé non pas par le commerce, ni par l'industrie, ni par l'exploitation minière, mais bien par l'agriculture; la religion a constamment présidé aux diverses phases de la colonisation». Il est intéressant de signaler que l'abbé O'Bready était un descendant du premier colon catholique établi à Wotton, à la fin de l'été de 1848 : monsieur Patrick O'Bready. Le 1er janvier 2012, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Coeur-Immaculé-de-Marie d'Asbestos.

Sainte-Bibiane de Richmond
CAMAR · Corporate body · 1850

De 1823 à 1850, Richmond connut sa période missionnaire. L'abbé John Holmes, de Drummondville, fit ériger la première chapelle en 1824, à Brand's Hill, localité sise à cinq milles du Richmond actuel. L'abbé Michaël Power, missionnaire de 1827 à 1831, fut le premier évêque de Toronto en 1842. On s'aperçut vite que l'ensemble de la population vivait plutôt à Richmond qu'à Brand's Hill. Dès le 8 juin 1838, un lot était concédé à Richmond même pour la construction d'une église. À cette date, la paroisse avait ses syndics. Le 29 août 1890, Mgr Antoine Racine décréta l'érection canonique de la paroisse; dès l'érection civile, le 27 janvier 1891, les paroissiens élirent leurs premiers marguilliers. Dès 1850, Sainte-Bibiane eut son premier prêtre résident : l'abbé Luc Trahan. Mais la figure dominante de la paroisse fut Mgr Patrick Quinn, curé de 1864 à 1914. En 1880, il fit ériger l'église actuelle. En 1884, à son instigation, les Soeurs de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal ouvrirent un couvent à Richmond : le Mont Saint-Patrice. Richmond a compté plus tard une deuxième paroisse : Sainte-Famille, aujourd'hui fusionnée avec Sainte-Bibiane. La paroisse Sainte-Bibiane de Richmond desservit Saint-Malachie de Kingsbury de 1886 à 1913.

CAMAR · Corporate body · 1845

Le premier curé résident des Cantons de l'Est fut l'abbé Jean-Baptiste McMahon. Il arriva à Sherbrooke le 16 juin 1834; il devait rendre visite aux communautés chrétiennes environnantes. Il dut visiter le territoire de Sainte-Catherine, de même que son successeur, l'abbé Peter-Henry Harkin, et cela jusqu'en 1845. La première messe fut célébrée en juin 1845, par monsieur Benjamin-Joseph Leclerc, dans la maison de monsieur Antoine Grandmont, maison sise sur le chemin du Lac; cette demeure servit au culte pendant quelques années. Par la suite, les prêtres venaient de Stanstead, Sherbrooke, Compton et Magog. La première chapelle fut inaugurée le 29 juin 1858, par Mgr Jean-Charles Prince, évêque de Saint-Hyacinthe. Le 7 juillet 1866, l'abbé François-Zéphirin Mondor, curé de Saint-Patrice de Magog, demanda à Mgr Charles LaRocque, évêque de Saint-Hyacinthe, d'envoyer un représentant pour clarifier le choix du site d'une nouvelle chapelle. L'abbé Alfred-Élie Dufresne étudia la question; finalement, Mgr l'évêque de Saint-Hyacinthe trancha la question à la suite d'un consensus de la population. La nouvelle église fut terminée au mois de mai 1870. La paroisse fut érigée canoniquement en 1872. Le 30 novembre 1875, suite au désir exprimé par Mgr Antoine Racine, premier évêque de Sherbrooke, on ajouta un jubé à l'église. Le 21 septembre 1906, Mgr Paul LaRocque donna l'autorisation de construire une nouvelle église; celle-ci fut rénovée en 1991, grâce à une artiste locale.

CAMAR · Corporate body · 1890

Le premier missionnaire, l'abbé Alfred-Élie Dufresne, dessert cette communauté naissante dès 1858. De 1883 à 1889, les prêtres de Magog et de Saint-Élie-d'Orford s'y rendent assez régulièrement. L'abbé Alfred-Élie Dufresne y retourne de 1889 jusqu'à sa mort en 1891; en 1890, il fait ériger la première chapelle. En 1902, l'abbé Eugène St-Jean la fait agrandir. Le 12 mars 1896, Mgr Paul LaRocque érige canoniquement la paroisse. C'est en 1939, sous le pastorat de l'abbé Léon-Mathias Lemay, que se réalise la construction de l'église actuelle. Le 22 juillet 1949, une tornade coupe littéralement l'église en deux; le curé Philippe Desgranges préside à sa restauration complète. Cette paroisse, presque strictement rurale jusqu'à la fin des années «60», vit une véritable explosion démographique; si bien qu'en 1971, les registres paroissiaux font état de plus de trois cents baptêmes. En 1976, Mgr Jean-Marie Fortier demande à l'abbé Michel Nault de fonder une nouvelle communauté chrétienne; celle-ci reçoit son érection canonique en 1980, sous le vocable de la Résurrection-du-Christ. En 1993, Saint-Roch de Rock Forest compte encore près de trois mille familles.

CAMAR · Corporate body · 1889

C'est monsieur François Gagnon qui fit la première demande pour obtenir un prêtre pour desservir les colons établis depuis 1880, dans le Canton de Cleveland. En 1888, Mgr Antoine Racine délégua monsieur Patrick Quinn, curé de Sainte-Bibiane de Richmond, pour analyser la situation. Le 21 octobre 1890, monsieur Patrick Dignan, curé de Saint-Philippe de Windsor, rendit visite à ces colons. Six jours plus tard, Mgr Racine promit la célébration de la messe dès que la maison d'école serait agrandie. Le 8 décembre de la même année, monsieur Dignan célébra la première messe dans cette première chapelle. Le 6 février 1891, Mgr Racine donna saint Claude comme patron à la nouvelle mission. Le 29 mai 1897, Mgr Paul LaRocque bénit la deuxième chapelle, construction entreprise par monsieur Amédée Dufresne, successeur de monsieur Dignan, à Windsor. Le 18 juillet 1902, un incendie rasa la chapelle, le presbytère et l'école. De 1902 à 1906, les cérémonies liturgiques eurent lieu dans des locaux de fortune. En 1906, une troisième chapelle fut érigée dans le rang sept, «situé plus au centre des terres». Cette même année, Mgr LaRocque érigea canoniquement la paroisse. Le 17 septembre suivant, il fixa le site de l'église actuelle qu'il bénit le 10 août 1910. L'abbé Auguste-Henri Perrin, premier curé de Saint-Claude, y fonda une école apostolique, en 1898, pour l'éducation des futurs prêtres. Depuis le 1er août 1991, c'est le curé de Saint-Philippe de Windsor qui assume la cure de Saint-Claude; cent ans plus tard, l'histoire se répète. Le 31 décembre 2006, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse et l'a rattachée à St-Philippe de Windsor.

CAMAR · Corporate body · 1871

Monsieur l'abbé Alfred-Élie Dufresne fut le premier prêtre à visiter Bromptonville, en 1854, pour donner le sacrement des malades à un employé du moulin Clark; il célébra la première messe en 1858. Le 2 juillet 1863, il acheta un terrain de deux acres de la British American Land Company pour la construction de la première chapelle. Celle-ci reçut le vocable de Sainte-Praxède, le 6 janvier 1864, lors de sa bénédiction. En juillet 1870, on procéda à la bénédiction de la première cloche; depuis 1905, cette cloche habite le clocher du couvent et demeure la propriété de la Fabrique Sainte-Praxède. Le premier curé résident, l'abbé Jean-Baptiste Ponton, fit bâtir le premier presbytère, en 1871. Le 22 août 1875, Mgr Antoine Racine érigeait canoniquement la paroisse. Le 9 février 1904, on décida de construire l'église actuelle; Mgr Paul LaRocque l'a bénite le 26 octobre 1905. En 1953, un groupe de paroissiens, éloignés de l'église, obtinrent la fondation de la desserte de Notre-Dame-des-Mères. En 1954, les Frères du Sacré-Coeur érigèrent un Juvénat, sur le territoire de la paroisse. La paroisse Sainte-Praxède compte un grand nombre de vocations sacerdotales, religieuses et missionnaires; le plus célèbre fils de Bromptonville est sans doute Mgr Gilles Ouellet, archevêque de Rimouski depuis 1973. Le 3 mars 1981, un grave incendie endommagea l'église paroissiale. Grâce à la générosité de la population et de la Compagnie Kruger, les paroissiens réintégrèrent rapidement leur temple entièrement rénové. Le 1er janvier 2013, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Christ-Sauveur de Sherbrooke.

CAMAR · Corporate body · 1877

Cette paroisse, située dans les limites de la municipalité de Chesham, fut érigée canoniquement le 4 décembre 1877. Entre 1870 et 1875, des colons s'établirent dans cette région, à la demande de l'abbé Jean-Baptiste Chartier, représentant des sociétés de colonisation de Bagot et de Saint-Hyacinthe. En 1875, le gouvernement fit bâtir un édifice, appelé l'Hôtel, pour loger 150 personnes arrivées en 1875 et 1876 à Notre-Dame-des-Bois. L'abbé Jean-Charles-Alfred Desnoyers célébra la première messe, dans le canton de Chesham, le 17 juin 1875, sur une grosse pierre transformée en autel (cette pierre se trouve en face de l'église actuelle). Le 10 août 1875, Mgr Antoine Racine donna l'Immaculée-Conception comme patronne à Chesham. Les premiers prêtres à desservir l'endroit étaient de Cookshire et de La Patrie; le premier missionnaire officiel fut l'abbé Victor Chartier. Rapidement, l'«Hôtel» fut transformé en chapelle permanente. Le nom de Notre-Dame-des-Bois a une origine bien spéciale. Le 15 juin 1876, l'abbé Victor Chartier installa une statue de Marie «sur le rocher de la première messe». Cette statue reçut le nom de Notre-Dame-des-Bois, en souvenir d'une statue du même nom, dans la province de Franche-Compté, en France. Dans les années 1880, monsieur l'abbé Cyrille-Ferdinand Corrivault fit ériger une chapelle, dédiée à saint Joseph, au sommet de la montagne de Chesham. De 1985 à 2001, cette paroisse faisait partie de la Zone Saint-Joseph; en 2001, elle a été dissoute et la paroisse Saint-Joseph-des-Monts de La Patrie a été fondée.

CAMAR · Corporate body · 1915

La paroisse fut érigée canoniquement le 8 octobre 1915. Le premier curé résident fut l'abbé Hector Courtemanche. La bénédiction de l'église eut lieu en 1917. Le 31 décembre 2007, la paroisse est dissoute et son territoire est rattaché à la paroisse Saint-Joseph de Valcourt. Sources: informations puisées dans le guide des archives paroissiales de l'Archidiocèse

CAMAR · Corporate body · 1857

On a parfois surnommé cette paroisse, le «Beaupré» de l'Estrie. À ce qu'on dit, une première messe aurait été célébrée en 1846, dans la maison d'un colon; cette maison fut occupée plus tard par madame veuve Moïse Petit, grand-mère de feu Mgr Origène Vel. Le célébrant était probablement l'abbé Jean-Joël Prince, vicaire à Saint-Césaire et chargé des missions des «Cantons de l'Est». Le 8 avril 1856, les catholiques du Canton de Stukely adressèrent une requête à Mgr Jean-Charles Prince, évêque de Saint-Hyacinthe, pour obtenir l'érection canonique d'une paroisse; leur demande fut agréée le 1er août de la même année. L'abbé Jean-Charles-Alfred Desnoyers, premier curé résident, bénit la première église, sous le patronage de sainte Anne, le 22 novembre 1857. Chaque année, l'église était pleine, le jour de la fête de sainte Anne. Il fallut bientôt un temple plus grand. En 1892, le curé Joseph-Elzéar Lessard commença la construction de l'église actuelle, bénite le 26 septembre 1893. Ce jour-là, on mentionne pour la première fois la possibilité de «pèlerinages» à cet endroit. Les successeurs ont attaché une grande importance à ces pèlerinages. Durant les années 1960, le curé Laetare Vaillancourt fit aménager la montagne avoisinante pour y célébrer l'eucharistie en plein air, spécialement le 26 juillet. Le 1er mars 2011, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Famille de Valcourt.

CAMAR · Corporate body · 1906

L'érection canonique de la paroisse eut lieu le 3 juillet 1905. Le premier curé résident fut l'abbé Joseph-Eugène Lemieux en 1906. Entre 1906 et 1907, on construisit l'église, la sacristie et le presbytère. Sources : informations puisées dans le Guide des archives paroissiales de l'archidiocèse de Sherbrooke ainsi que dans le Supplément à l'annuaire diocésain (2000). Le 1er mars 2011, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Famille de Valcourt.

CAMAR · Corporate body · 1889

Située à la frontière américaine, cette région est desservie dès 1860 par les prêtres de Compton. L'évêque de Saint-Hyacinthe émet une ordonnance en 1867 pour circonscrire les limites de la nouvelle mission de Boundary Ligne sous le vocable et la protection de Sainte-Suzanne. Cinq ans plus tard, le même évêque élève canoniquement en paroisses toutes les missions établies sur son territoire, dont Sainte-Suzanne. Mgr Antoine Racine, le premier évêque de Sherbrooke, décrète à son tour l'érection canonique de la paroisse en 1889. Au début du siècle, la reconstruction de l'église, rendue trop petite et vétuste avec l'âge, suscite un conflit entre les paroissiens des municipalités de Stanhope, Dixville et Baldwin Mills, tous rattachés à la paroisse Sainte-Suzanne. Mgr Paul LaRocque tranche finalement en 1915 pour la construction d'une nouvelle église à Stanhope et l'érection canonique de la paroisse Saint-Matthieu de Dixville. Le curé de Stanhope continue à desservir Baldwin Mills où est fondée officiellement la mission Notre-Dame-de-la Salette en 1947. Le manque de prêtres et la baisse de clientèle conduit au jumelage de Stanhope et Dixville en 1977. Le 25 septembre 1997, Mgr Gaumond supprime la paroisse Sainte-Suzanne de Stanhope et modifie les territoires de Saint-Matthieu de Dixville et Saint-Luc de Barnston. L'église et le terrain sont vendus au Comité de loisirs de Stanhope. Depuis ce moment, la desserte Notre-Dame-de-la-Salette de Baldwin Mills est sous la juridiction de la paroisse Saint-Luc de Barnston. Source : fonds Fabrique Sainte-Suzanne de Stanhope.

CAMAR · Corporate body · 1966 - 1974

La paroisse Saint-Dominique-Savio possède l'histoire la plus courte du diocèse de Sherbrooke. En 1964, l'église Saint-Aimé d'Asbestos est démolie suite à la décision da la Compagnie John's Manville d'agrandir sa mine. La population est alors répartie en deux nouvelles paroisses : Saint-Aimé et Saint-Dominique-Savio. L'érection canonique de cette dernière coïncide avec la nomination du premier et seul curé de la paroisse le 19 août 1966, le chanoine Damien Lessard. L'église est construite en 1965 et consacrée le 7 octobre 1967 par Mgr Georges Cabana. Quelques années plus tard, l'affaissement continuel du terrain près de la mine nécessite la démolition de l'église. La paroisse est alors dissoute le 30 septembre 1974 et sa population annexée à Notre-Dame-de-Toutes-Joies d'Asbestos. Lorsque cette dernière a été supprimée le 31 janvier 2001, son territoire a été rattaché à Saint-Isaac-Jogues d'Asbestos. Sources : Fonds Fabrique Saint-Dominique-Savio d'Asbestos.

CAMAR · Corporate body · 1925

Dès 1903, les Pères de la Salette avaient missionné à Beebe. Le 22 novembre 1921, Mgr Pierre-Joseph-Amédée Lefebvre, vicaire général du diocèse, écrivait au curé Rhéaume de Rock Island, concernant la fondation possible d'une paroisse à Beebe. Monsieur Rhéaume répondit négativement. Au début de 1925, les 80 familles de Beebe envoyaient une pétition à Mgr LaRocque : le transport était inadéquat pour un grand nombre de fidèles de Beebe. Le 3 mars 1925, une nouvelle démarche de Mgr LaRocque auprès du curé Rhéaume échoua. Peu de temps après, le 17 mai 1925, Thérèse Martin fut canonisée sous le nom de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. Le 31 août de la même année, la paroisse de Beebe reçut son érection canonique sous le vocable de cette grande sainte. Le premier curé, l'abbé Lucien Lefrançois, célébra une première messe, à l'école du village, le 20 septembre 1925. Le 29 juin 1929, Mgr Alphonse-Osias Gagnon autorisa l'achat d'un terrain pour construire une église. Les fidèles participèrent à la messe dans ce nouveau temple, le 1er décembre suivant; le curé avait pris possession d'un nouveau presbytère le 5 novembre précédent. Le curé Hector Lafrance (1938-1953), homme très féru d'art véritable, fit l'acquisition, pour l'église paroissiale, de sculptures dignes de temples majestueux. Le 1er mars 2013, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Trinité de Stanstead.