Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Dénomination générale des documents
- Document textuel
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
- Source du titre propre: Titre basé sur le contenu du fonds.
Niveau de description
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1867 - 2002 (Production)
- Producteur
- Fabrique Sainte-Anne de Danville
Zone de description matérielle
Description matérielle
- 7,9 cm de documents textuels. - 56 plans. - 53 photographies.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Histoire administrative
Le village de Danville fut appelé ainsi en l'honneur de certains pionniers originaires de Danville, Vermont. Le premier missionnaire à s'y rendre fut l'abbé Charles Tardif, en 1845. La mission de Danville fut d'abord nommée «mission du Pinacle», du nom de la montagne voisine. À partir de 1850, ce furent les prêtres de Sainte-Bibiane de Richmond qui la desservirent. En 1854, on commença la construction d'une chapelle en bois, terminée quelques années plus tard. Mgr Thomas Cooke, évêque de Trois-Rivières, dédia cette mission à Sainte-Anne, pour rappeler l'hospitalité de madame Ann Logan, chez qui la messe avait été célébrée durant plus de trois ans. Le premier prêtre résident s'établit à Danville le 4 décembre 1865 : l'abbé Aimé Masson. En 1882, on projeta de construire une nouvelle église. D'après la tradition orale, le curé Masson y fut toujours opposé. La construction se fit quand même. Mgr Antoine Racine bénit cette église en décembre 1884; monsieur Masson ne changea pas d'idée : il célébra la messe de minuit 1884 dans la vieille chapelle. En 2001, l'église est la proie des flammes. Un an plus tard, un nouveau bâtiment est érigé. Le 1er janvier 2012, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Coeur-Immaculé-de-Marie d'Asbestos.
Historique de la conservation
Portée et contenu
Ce fonds fournit de l'information sur la construction et la reconstruction de l'église ainsi que sur la gestion financière et le patrimoine de la paroisse. Il se compose de plans, de documents financiers, de dossiers relatifs à la reconstruction de l'église, de documents concernant une ordination, ainsi que des demandes et décrets d'érection pour les associations et les mouvements spirituels. On y retrouve également une fiche d'inventaire de l'église et des photographies. Un dépliant relatif à un pèlerinage, des procès-verbaux et des rapports complètent ce fonds.
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
- français
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Instruments de recherche
Répertoire numérique.
Éléments associés
D'autres documents sont conservés à la paroisse Cœur-Immaculé-de-Marie d'Asbestos.